La mode est aussi une tendance ressentie dans la lutte biologique, Anastatus bifasciatus est le mal aimé du moment.
Avec l’arrivée de la punaise diabolique en Europe et les dégâts occasionnés dans certains pays, les scientifiques ont mis leurs blouses blanches pour trouver des solutions durables notamment dans la lutte biologique et ce sont tourner vers Trissolcus japonicus de l’Allemagne, par la France à l’Italie on investit dans ce parasitoïde d’œuf exotique.
Dans son aire d’origine Asiatique, la punaise diabolique a des ennemis naturels dont la guêpe samouraï le petit nom de Trissolcus. Mais, cette guêpe est Asiatique, bien que l’on commence à en l’identifier en Europe mais encore très sporadiquement.
De plus, la législation interdit l’importation d’agent biologique exotique, car elle peut occasionner des effets sur la faune locale, on se souvient de la coccinelle Arlequin qui avait était importer contre le puceron en Europe avec des dégâts très important sur la faune locale dont les coccinelles indigènes (il est intéressant de savoir que dans son aire d’origine, là encore Asiatique elle est utilisé contre les cochenilles, pas contre les pucerons).